Christophe LESAGE Thérapeute et Coach
Thérapies individuelles et couples - EMDR- Hypnose - TCC- TLMR/HTSMA
DÉONTOLOGIE
Je suis en supervision une fois par mois à titre individuel et collectif. Je continue à me former et je reconnais si besoin les limites de la prise en charge que je peux proposer en orientant vers un autre professionnel.
Je travaille selon les règles de la confidentialité et du secret professionnel.
Mon attention première est tournée vers le patient, sa dignité, son intégrité et sa liberté de choix.
Accueil, attention et écoute
Respect du libre-arbitre des croyances et des valeurs du consultant
Secret professionnel
Connaissance des outils utilisés et de leurs limites
Le praticien en thérapie relationnelle développe une éthique orientée vers ce qu’il estime le plus utile et le plus juste pour l’accomplissement psychique de la personne qui le consulte. Se référant à l’approche phénoménologique de la philosophie, aux concepts de personne, de soin, de responsabilité et de droit issus de notre histoire culturelle, ainsi qu’aux notions de vie psychique, de symbolisation et de sujet introduites par l’histoire de la psychologie et de la psychanalyse, le praticien en thérapie relationnelle fonde son éthique professionnelle sur les principes suivants considérés comme valeurs de référence :
1 – Respect de la personne et de sa subjectivité.
Le praticien en thérapie relationnelle considère la personne qui le consulte comme un sujet unique et libre, ce qui le conduit à respecter sa dignité, son intimité, ses parts inconscientes et leur expression symbolique, son autonomie, ses options philosophiques ou religieuses.
2 – Intégrité du soin.
Le praticien en thérapie relationnelle se met au seul service du processus psychothérapique de la personne. Il ne fait rien qui pourrait lui nuire ou qui serait motivé par l’intérêt de tiers ou par des fins personnelles conscientes ou inconscientes autres que celles de la psychothérapie.
3 – Compétence professionnelle.
Le praticien en thérapie relationnelle s’autorise de sa compétence acquise par un travail psychothérapique approfondi sur lui-même, par des formations spécialisées de haut niveau, par un questionnement constant de sa pratique et par une coopération avec ses pairs dans le cadre d’instances professionnelles (supervision).
4 – Responsabilité.
Le praticien en psychothérapie relationnelle décide seul de ses méthodes et techniques thérapiques. Il assume la responsabilité du suivi des personnes envers lesquelles il s’est engagé, dans le respect de la loi et des règles déontologiques de sa profession.